Joyeux Noël 2011

PS : moi, le père Noël, il m'a apporté Skyrim pour PS3, le 5è volet de la série The Elder Scrolls.
Alors si vous n'avez pas de nouvelles de moi avant 2014, vous saurez pourquoi...

Pour ceux qui ne savent pas de quoi je parle, voilà :
http://fr.wikipedia.org/wiki/The_Elder_Scrolls_V:_Skyrim

Parfois vaudrait mieux être sourd...

Bon sinon y'avait aussi plein d'autres animaux...

Et plein d'enfants. C'est les vacances scolaires.
Ca c'était dur...

Couleurs, couleurs

Alors nous y voilà, après quelques semaines de travail, on se lache sur la couleur et la lumière.
Pendant des années je me suis dit que la couleur c'est trop difficile, c'est pas pour moi, je n'y arriverai pas... Et finalement, je suis en train de découvrir le plaisir que cela procure.

Première étape : travailler avec un medium facile. Le crayon de couleur n'a pas toujours les faveurs du graphiste. Et pourtant je suis impressionné parce que l'on peut faire avec.

Deuxième étape : passer à un medium plus difficile.
Bon alors, de l'huile ? (faut aimer l'odeur du White Spirit)
Du Pastel ? (mais c'est quoi ce truc qui colle aux doigts ????)
Mmhhh. Et pourquoi pas de l'aquarelle ?

On peut commencer tout doucement. D'abord on colorie, on remplit des surfaces de teintes unies. Puis on repasse par couche successive : du bleu pour faire une ombre, du rouge pour accentuer le volume du visage... Et petit à petit on apprend à maîtriser ce medium, qui me semblait si inaccessible. Bon allez, je vous l'accorde, je suis loin de faire du Turner. Mais c'est pas le but non plus...

Quoi, vous n'aimez pas l'Ireland ?

Troisième étape : SE FAIRE PLAISIR.
Du fan-art, c'est toujours bon. Et puis Geek un jour, Geek toujours...

De la couleur

Ah oui, il fallait bien s'y mettre un jour à la couleur. Après des années à se cantonner au noir et blanc, à l'encre de chine, au marker gris, au crayon noir...

L'année scolaire avance et me voilà embarqué dans une sombre histoire d'expérimentations graphiques. De la quoi ? De la couleur vous-dites ? Alors d'abord on ose pas... On en met un tout petit peu... On utilise du crayon de couleur (parce que c'est pas salissant), par petites touches, mais on met plein de noir au feutre quand même pour se rassurer...

(Xuluc et Tulmac ont dérobé le Soleil, s'il était besoin de le préciser...)

Et puis ensuite vient le lacher-prise (parlons-en !), on continue d'expérimenter pour se rendre compte que d'une part le crayon de couleur c'est excellent, que d'autre part la couleur c'est l'ombre et c'est aussi la lumière, et qu'enfin les teintes choisies n'ont pas besoin de refléter la réalité ⁽¹⁾.

Du coup on devient plus téméraire, et on se laisse guider dans la nuit par les reflets dorés d'une flamme d'allumette...

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⁽¹⁾ Poussé à son extrème, ce dernier principe a été exploré par le mouvement Fauviste.